Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
La sonnette fit défaillir mon cœur. Deux années que j’attendais cet instant. Malgré mon angoisse terrible, et mes ballets boots, je me précipitais pour aller ouvrir à ma Femme. Je ne découvrir que Ses chaussures noires brillantes, magnifiques, n’ayant bien entendu pas le droit de lever la vue sur qui conque, et me prosternait en tenant une pose parfaite pour La saluer. Mais Elle rentra sans faire attention à moi, me tendant simplement son sac, tandis que j’attrapais son manteau. Je l’entendis juste demander d’une voix ferme que j’adulais depuis si longtemps, une vodka fraiche. Je me précipitais alors à nouveau, cette fois dans la cuisine, sortant un plateau d’argent, un large verre évasé, et Lui versant une Smirnoff mise au congélateur, que je Lui apportait avec tout le respect que je lui devais : à genoux, tête baissée, les main au-dessus de la tête, lui présentant Son verre et attendant Son prochain ordre.
J’entendis un cri tandis que Juliette, Sa sœur, entrait dans la pièce, folle de bonheur de retrouver Sa Sœur, les deux Femmes s’embrassèrent longuement, j’appris alors qu’Elles s’étaient vues depuis le départ de ma Femme, mais plus depuis quelques mois. Je n’avais pas le droit d’écouter la conversation, mais comme il s’agissait d’Elle, cela m’était tout bonnement impossible. Ainsi ma Femme s’était-Elle mise en couple avec une de Ses amies de toujours qui viendrait bientôt la rejoindre. Fou de bonheur, je me dis que peut être alors je pourrais La servir et enfin être auprès d’Elle. J’avais été prêt à tout pour cela, et j’étais prêt à encore plus tant mon cœur débordait de désir inassouvi. Et pourrais-je alors quitter la terreur de cette demeure. Puis Isabelle s’enquit enfin de moi, Son mari. J’étais en larmes quand Elle demanda à Juliette où j’étais. Celle-ci rit à pleine dent : « Ta misérable petite chose ? Mais elle est là à tes pieds. Et devant la surprise d’Isabelle, Juliette continua : maman a fait un travail extraordinaire avec lui, elle avait bien raison d’avoir détecté son potentiel. Comme cela me faisait très envie, j’ai décidé de me débarrasser d’Yves, il est dans un harem d’un cheikh homosexuel sadique à qui je l’ai vendu, en lui demandant de surtout ne plus jamais avoir de nouvelle de cet incapable.
Met toi debout. L’ordre de ma Femme, ma Propriétaire claqua naturellement, et je me suis mise debout pour me présenter à Elle.
- Incroyable, je ne le/la reconnais pas. J’ai cru que Vous aviez une nouvelle femelle esclave.
- C’est un peu cela répondit sa Sœur, n’est-elle pas magnifique ainsi ? Ma femme faisait le tour de Sa propriété, découvrant les mille et une transformations que Sa mère avait effectuée sur moi. Mes cheveux devenus longs étaient rendus très fins, attachés en une queue de cheval très haut, très tirés sur mon visage. Ils étaient d’un blond paille du plus bel effet. Mon visage était définitivement lisse depuis très longtemps, avec des cils qui avaient été aussi rallongés, des yeux, un nez et des pommettes redessinés par le chirurgien, masquant ainsi l’effet de la testostérone, par petite touche, mais qui donnait à l’ensemble un équilibre délicat. Le contour de mes yeux avait été tatoué de noir afin de rendre mon regard plus sombre et sensuel. Quelques étoiles parsemaient le côté droit de mon visage, elles aussi tatouées définitivement. J’avais appris à garder la bouche toujours entrouverte, tandis que mes lèvres avaient été légèrement gonflées, et mes dents bien alignées. Je défaillais chaque matin à me regarder lorsque je me maquillais, le résultat était en effet très réussi.
A mon cou était serti un large collier en métal de plus d’un kilo, en acier brossé. Il était ajusté, et définitif, avec un anneau en son milieu. Il avait remplacé un collier intermédiaire de dressage que j’avais appris à redouter, car m’envoyant des décharges à la moindre erreur. Je restais terrorisé comme si les décharges pouvaient revenir, totalement dressée à leur menace. Ma Femme descendit le zip de ma combinaison de latex noire, que je portais la plupart du temps, me moulant de façon outrageuse. Libérant le haut de mon corps. Elle prenait son temps avec les explications de Sa Sœur. Mortifié, je me rendais compte qu’Elle ne s’était en rien préoccupée de moi pendant ces deux années de dressage ! Comme promis, ma Belle Maman m’avait fait poser une poitrine imposant, un 95 C/D de belle facture. C’était un mélange d’implant et de greffe dont le résultat était à couper le souffle : bien trop beau et parfait pour être naturel. La main de ma Femme me fit tressaillir malgré moi, Elle s’en rendit compte :
- Comment se fait-il que cette chose tressaille quand je la touche demanda-t-elle ?
- Inadmissible répondit sa Sœur. Cravaches esclave.
Sans réfléchir, je me précipitais pour aller chercher les instruments de supplice dont j’avais tant l’habitude. Une pour chacune de mes Maitresses, et sans ordre supplémentaire, je me penchais en avant, prenant mes chevilles dans mes mains, les jambes bien tendues, la jupette en cuir relevée, offrant mon fessier en punition.
- Superbes marques dit Isabelle
- Nous adorons la battre, c’est toute la journée qu’elle est battue
- Et elle aime cela ?
- Nous n’avons jamais pensé à le lui demander répondit Juliette en pouffant de rire
- Combien de coups ?
- 100 chacune proposa Juliette
- Allez 200 pour une rentrée. 400 coups ! J’avais déjà reçu bien plus, mais j’avais été déjà largement battue le matin même. Mais qu’y pouvais-je ? J’étais totalement dressée et pas un cri ne s’échappa, tandis que les coups pleuvaient à un rythme infernal sur mes fesses et mes cuisses offertes sans résistances. Les larmes ruisselaient sur mon visage lorsque ma femme me releva. Prenant mon menton entre Ses doigts, Elle releva ma tête.
- Regarde-moi Apeurée et fébrile, je relevais doucement le regard, découvrant progressivement son corps que j’avais tant adulé, jusqu’à croiser son regard. Comme un coup de foudre, mon cœur lâcha, je me retrouvais par terre, à embrasser Ses chaussures, à Lui assurer la plus profonde dévotion à vie, étant alors prête à tout pour Elle.
- Elle me plait bien et je suis certaine qu’elle plaira à ma compagne. J’aime bien sa taille
- Maman l’a faite opérer et avec le port d’un corset métallique, elle est maintenant réduite à 31 cm. Je pense que moins ce serait impossible, et déjà cela la contraint terriblement. Les premières nuits elle gémissait sans fin, c’était très excitant, mais elle s’est habituée, comme au reste. Elle est très docile.
- Parle-t-elle ?
- Non jamais, que voudrais tu donc qu’elle dise ? Cela fait plus d’un an qu’elle n’a pas dit un mot, et cela nous convient très bien comme cela
- Continuons l’inspection alors, debout l’esclave
Je me relevais promptement, ayant appris à suivre les ordres le plus rapidement possible. Je me souvenais de ces longues séances de dressage au fouet, qui claquait dès que je ne réagissais pas assez vite aux ordres les plus inattendus les uns que les autres. J’avais alors développé une sorte de pré-science, anticipant l’ordre avant qu’il ne soit émis pour éviter autant que possible fouet. Cela avait duré des mois et des mois, j’en pleurais de rage et d’impuissance, mais je ne pouvais rien faire, contraint de toutes les façons, dans des souffrances sans cesse renouvelées pour que je ne prenne aucune habitude.
Mes magnifiques seins étaient percés aux tétons de larges anneaux dont l’épaisseur dépassait le centimètre. Ils avaient été posés dans le mamelon pour tenir fermement, sachant que je supportais régulièrement un plateau de plusieurs kilos uniquement pendus par eux. Dans le mamelon lui-même, j’avais deux cadenas, plus fins, qui rappelaient ma condition, mais comment aurais-je pu l’oublier, j’étais définitivement asservi et je savais que je n’aurais d’autre vie que de souffrance pour une femme que jamais je ne pourrais posséder. J’étais puceau à vie, j’avais interdiction de jouir et ma dernière éjaculation datait d’il y a plus d’un an et demi. J’étais maintenu dans un mélange d’excitation, de terreur, de contrainte et de souffrance qui me faisait tourner la tête. Je ne pensais même plus à moi, sinon comme une esclave, et je ne vivais que par et pour ma Belle Mère qui était devenu mon tout.
Je n’avais ainsi plus le souvenir du gout de l’eau, ne buvant que Son urine ou celle de Ses filles, Elle avait bien tenu sa promesse, puisque j’étais aussi Ses WC. Je m’y étais habituée si vite, que cela me troublait encore, et jamais je n’avais eu le moindre geste de recul. Cela créait un régime très pauvre en calories, et j’avais fondue comme jamais, à Son grand plaisir. J’avais droit à des vitamines, que je devais gagner en me prostituant auprès du médecin de la famille, une Femme bien entendu. Elle évacuait le stress de son métier, en me provoquant des douleurs bien plus terribles que celles de Ses malades. Belle Maman avait tenu toutes Ses promesses, et je n’étais plus qu’une chose que ma Femme découvrait maintenant.
Ma Femme caressait distraitement mon ventre plat, serrant ma taille si fine que rien que sa vue me faisait chavirer. J’étais concentrée pour ne pas frissonner et ne pas réagir. Elle me fit marcher de long en large sur mes ballets boots pour voir ma dextérité, acquise à longueur de séances éprouvantes sous la morsure du fouet. Je ne marchais plus qu’ainsi sur la pointe, et je crois que j’aurais été incapable de porter des chaussures, même à talons très haut. Je ne les ôtais que lorsque je me lavais, toujours à l’eau glacée, dehors sous le jet puissant. Cela semblait Lui plaire, elle en fit la remarque à Sa sœur.
- Il se déplace comme une femelle, est-ce qu’elle a conscience d’être devenue une esclave femelle demanda ma Femme à Juliette ?
- Maman a tout fait pour qu’elle n’ait conscience de rien, surtout qu’Elle ne réfléchisse jamais, en aucune occasion, mais juste appliquer les ordres.
- C’est parfait, un mari parfait quoi. Mais un peu difficile à sortir quand même.
- Ce n’est pas faux, c’est un peu le problème, cependant il peut quand même être utilisé à l’extérieur, Maman ne s’en prive pas.
En effet, j’étais aussi bien le chauffeur, le coursier, le porteur de baggages et tout ce que pouvait imaginer ma perverse Belle Maman. C’était parfois difficile le regard extérieur, même si la plupart des personnes ne voyait qu’une femme excentrique, appartenant à une Maitresse Femme, c’était moins sulfureux que s’ils avaient su que j’étais le gendre de la Dominatrice.
Ma Femme avait déjà deviné comment mon fondement avait été traité, mais Sa Sœur prit un profond plaisir à lui expliquer le fonctionnement. J’avais été élargie très progressivement par le port permanent de plugs, jusqu’à ce que le muscle soit complètement relâché et devenu inutile. Je disposais dorénavant de différentes tailles de plugs, et je me conformais aux ordres et désirs. Le plus souvent, je portais un plug en acier, qui s’enfonçait jusqu’à ma prostate, la stimulant en permanence, d’une épaisseur moyenne de 8 cm de diamètre que je supportais bien, même si la sensation était toujours aussi monstrueusement envahissante. Lorsque je devais l’oter, je me sentais dans un étrange état de vulnérabilité, je ne pouvais plus vivre sans, au propre comme au figuré. Mes sphincters avaient été totalement désactivés. En effet ce plug portait au bout une queue de chien qui se dévissait, laissant apparaitre un large trou tout le long. Ainsi j’étais vidangée tous les jours, étant branchée à une pompe qui m’injectait trois litres d’eau, laissant le liquide mijoter 20 minutes, avant de l’aspirer et rejeter l’eau, puis recommençant cela toute la nuit. Au matin, j’étais plus que propre et récurée.
Parfois j’avais droit à de l’eau bouillante, pimentée, et bien d’autres variations dont j’ignorais tout mais qui ravageaient mon ventre. Vu ce que je mangeais, de toutes façons, mais reins étaient en permanence nickel. Belle Maman était tellement heureuse du résultat qu’Elle avait décidé de m’offrir aux ânes de Son voisin de campagne. Je ne comptais plus le nombre de fois où je m’étais faite saillir, mais surtout où j’avais reçu ces jets puissants au fond des entrailles. Il n’était pas rare qu’un autre esclave nous accompagne, terrifiée de ce qu’il voyait, à tel point qu’il lapait le jus sortant de mes entrailles avec volupté. Je l’enviais car cela m’aurait changé de ma pauvre pitance. Mais je ne le méritais pas, je le savais. Je devais souffrir pour avoir le bonheur d’être possédé par une Femme que j’indifférais totalement en tant qu’être humain.
Isabelle défit la queue qui dépassait sous ma jupette, et inspecta la largeur qui l’impressionna. Elle me fit tourner sur moi-même pour découvrir le recto. Elle semblait curieuse de savoir ce qu’Elle allait découvrir. Je relevais docilement la jupette pour me présenter à ma Femme. Mon sexe était depuis longtemps définitivement épilé. Je portais un important tatouage sur le pubis, fais de chaines et de fouets, avec les mots : Propriété d’Isabelle – Esclave 113-458-879 qui était mon numéro d’immatriculation qui reprenait tout mon pédigrée. J’avais eu les larmes aux yeux de bonheur de porter ce tatouage, je Lui appartenais encore plus fortement que par les liens du mariage, puisqu’au fond du corps, de façon définitive. C’était pitoyable, puisqu’Elle ne le découvrait que plus d’un an après, sans émotion particulière, c’était bien le minimum qu’elle attendait de Son esclave personnel. Rapidement Elle découvrit ce qui manquait :
- Vous l’avez castrée ? Sa voix était neutre, cela n’avait pas pour Elle une grande importance.
- Pas du tout, elle serait devenue toute molle. Non nous avons initié une nouvelle technique provenant du japon : nous lui avons rentré les boules dans l’aine. Comme cela elles ne dépassent pas et laisse le sexe tout seul, c’est bien plus esthétique.
- N’est-ce pas dommage, fini le ball busting, et tous les plaisirs que ces ridicules boules nous procurent.
- Pas tant que cela, car nous avons demandé à ce qu’elles soient juste affleurant, si tu passes ta main, tu dois les sentir. Regarde elle doit résister si elle est bien dressée, si elle ne l’est pas, nous la jetterons dans une décharge. Je savais qu’Elle disait vrai, mais j’étais bien dressée, je savais que j’allais résister. Et je n’eus pas attendre, alors que je reçu un coup de poing directement dans mes couilles si peu protégée. Si je ne bougeais pas, les Femmes virent l’atroce souffrance dans mon corps, et rires de ce plaisir. Par plaisir sadique, Isabelle se mit à les frapper progressivement, de plus en plus fort. Fatiguée, je dus aller chercher une tapette pour lui faciliter la tâche, malgré la douleur atroce dans le ventre. Mes couilles étaient sans doute en s a n g , mais invisibles à l’œil, je n’étais que souffrance, les larmes coulaient sans discontinuer, Isabelle semblait ravie de ce nouveau jouet.
- Mais du coup vous ne pouvez rien lui pendre aux couilles ?
- C’est vrai, mais rassure toi maman S’est beaucoup amusée avec, y compris une suspension totale, je te montrerai des photos, c’était génial. Du coup elle a dû porter une vingtaine de kilos en permanence pendant 1 mois entier sans jamais se soulager : y compris la nuit, le poids était mis sur une poulie pour que les couilles soient étirées. Je crois bien qu’elle a regretté d’avoir des couilles !
- Et les aiguilles ?
- Maman les a percées avec des anneaux de 5 mm, c’était là aussi très réussi. Mais bon il fallait faire un choix. Si tu as besoin ou envie on les ressortira.
- Oui je pense, je préfère lui faire couper son pénis et pouvoir jouer avec ses couilles.
- C’est peut être dommage, regarde : Debout cria-t-elle et mon pénis se mit à se raidir à l’ordre, sous un réflexe pavlovien. Il reste dur le temps que tu veux, évidemment sans jamais jouir.
- Quand est-ce qu’il a joui la dernière fois ?
- Jamais répondit Juliette, enfin depuis que tu l’as épousée. S’l jouissait, en lui arracherait avec les dents le sexe, les couilles et la prostate et on le laisse bouffer par les fourmis. Je crois qu’elle le fait bien, et tu as là un god superbe : il est toujours puceau et personne ne l’as utilisé encore, Maman voulait le garder pour toi.
- J’adore l’idée que mon mari soit pucelle à jamais, enfin je dis cela, mais elle se fait enculer tout le temps, c’est donc quand même une perte de chasteté. Non je n’utiliserai pas ce sexe. Je vais voir, mais franchement c’est très disgracieux et inutile. Ceci étant, si je le coupe, ce ne sera qu’après l’avoir faite souffrir à tel point que son ablation soit un cadeau.
- Alors qu’en penses-tu ?
- Pas mal, elle est très jolie, je trouve que Vous avez fait un super boulot. J’imagine que pour le reste elle est dressée ?
- Bien sûr, esclave totalement dressée aux tâches domestique, à l’obéissance, wc et poubelle bien éduquée, il ne faut attendre aucune prise d’initiative. Elle sait qu’elle n’est rien du tout, et qu’elle te doit tout. Y compris la vie, le jour où elle te déplait, elle part comme les autres.
Isabelle s’approcha de moi, je ne voyais toujours que Ses chaussures. Elle demanda à Sa Sœur de lui apporter une boîte d’aiguilles à coudre, pas d’aiguilles médicales. Il y en avait de toutes tailles, je retint un frisson. Elle me demanda de relever le regard vers Elle, et de le tenir. Elle allait m’enfoncer des aiguilles, si mon regard ne faisait que tressaillir, je partais sur le champ en maison close. Mon cerveau se liquéfia, ce n’était pas possible. Elle prit une première aiguille épaisse, tandis que j’étais toujours dur, appuyant l’extrémité sur le gland tendu, Elle l’enfonça doucement, la douleur était atroce, je ne cillais pas. Elle recommença sur la tige qui se mit à saigner, sans qu’Elle ne se retienne. Elle prit des plus fine, les enfonça dans mon aine, perçant chacune de mes couilles, j’étais en sueur, mon regard ne la quittait pas. Satisfaite elle me perça le prépuce de 4 aiguilles épaisses en croix, y noua un lacet. Je pu baisser le regard enfin. Je passais tout le dîner de bienvenue le ventre rempli d’un lavement pimenté de 4 litres qui me tordait les boyaux, la queue étirée par les poids de 20 kgs qui m’avaient élongués les couilles, devinant que ma Belle Maman parlait de moi à Sa Fille, espérant qu’Elle voudrait bien me prendre à Son service. Mes souffrances n’étaient rien comparées au fait de ne pas être retenue. Je jouissais profondément de pouvoir être si proche d’Elle et si j’avais pu, j’aurais sans doute eu un orgasme rien qu’à cette pensée. Je n’étais rien, enfin.
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